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– Il contient trop de sel
– Les oiseaux ne peuvent pas digérer le pain : il provoque des gonflements dans l’estomac
– Le gluten provoque des maladies de foie
– Il engendre des problèmes osseux, provoquant une malformation des ailes appelée « ailes d’ange » qui les empêche de voler
– Les oiseaux perdent l’habitude de se nourrir seuls dans la nature
– Certains individus (cygnes, canards…) changent de comportements et peuvent devenir agressifs à proximité du lieu de nourrissage
La lumière diurne ne pose pas de problème pour la majorité des oiseaux. Mais attention en aucun cas la lumière ne doit rester allumée la nuit (j’ai calé pour qu’elles soient éteintes assez tôt avant l’installation des oiseaux pour la nuit). A contrario des études ont montré qu’allumer des lumières la nuit a un impact négatif sur le cycle de reproduction des oiseaux
Il ne faut pas placer les nichoirs trop près les uns des autres, car le risque est que les oiseaux se retrouvent sans assez de nourriture lors de la phase de nourrissage des petits. La règle à observer c’est seulement deux nichoirs pour 1000 m2 (minimum 25 m d’espacement entre deux nichoirs). Il est possible de légèrement sursoir à cette règle en installant des nichoirs pour plusieurs espèces différentes.
Rien ne presse car certains oiseaux peuvent réutiliser le même nichoir pour une deuxième couvée (comme les mésanges). Procéder à son nettoyage à l’automne en prenant certaines précautions comme indiqué ici https://lejardindeloiseaubleu.blogspot.com/2019/05/les-etapes-du-nettoyage-dun-nichoir.html
Oui,
Pour être un soutien tout au long de l’année face au manque de nourriture et notamment des insectes dont la population vit un déclin important du fait des pesticides.
Pour faciliter la vie des parents oiseaux. Lors de la période des nichées, les jeunes parents, (comme les mésanges charbonnières), font parfois plus de 500 allers-retours vers le nichoir pour ramener des chenilles ou larves afin de nourrir les petits. En leur permettant des pauses sur les mangeoires avec une alimentation saine et adaptée, on permet aux parents de se rassasier et d’être en forme jusqu’au départ des juvéniles.
En aucun cas, cela oblige l’oiseau à venir se nourrir sur la mangeoire. Les oiseaux sont opportunistes : ils mangent ce que la nature leur propose. Lorsqu’un arbre n’a plus de baies car tous les oiseaux les ont mangées … ils changent tout simplement d’arbre. Les oiseaux sont toujours libres de venir ou pas sur les mangeoires.
De plus, les oiseaux ont un instinct qui les poussent à se nourrir d’aliments frais et vivants adaptés aux besoins du moment et à ce que leur donne la nature, ils privilégieront toujours la nature aux aliments d’appoint que nous leur proposons en dehors de l’hiver.
Si notre aide l’hiver est devenue importante, elle peut rester un soutien en dehors de cette période. Les Etats unis et la Grande Bretagne ont l’habitude de longue date, de nourrir les oiseaux toute l’année et les oiseaux ne sont devenus ni obèses, ni dépendants.
Des études récentes démontrent que depuis 1989, le nombre d’insectes et donc la principale source de nourriture pour les oiseaux a diminué de 76%. La perte d’insectes est, d’ailleurs, plus élevée en été -82 % par rapport à 1889 .
La principale raison en est l’agriculture industrielle en raison de la pénurie de zones respectueuses des animaux et des plantes, l’application généralisée de toxines environnementales telles que les pesticides et la fertilisation excessive. Ce sont quelques-unes des raisons pour lesquelles de nombreuses espèces d’oiseaux sauvages sont en déclin . De plus, en raison de l’élevage des jeunes oiseaux, les besoins énergétiques des oiseaux en été sont plus élevés qu’en hiver. Des ornithologues bien connus disent donc que l’alimentation est nécessaire toute l’année et encore plus importante en été qu’en hiver.
Malheureusement, il existe encore souvent l’idée fausse que les oiseaux sauvages ne devraient être nourris qu’en hiver et que l’alimentation toute l’année nuit aux oiseaux. La plus grande organisation de protection des oiseaux sauvages d’Europe, « RSPB », préconise expressément depuis de nombreuses années l’alimentation toute l’année. l’Association allemande pour la protection des animaux, PETA, le WWF sont en faveur de l’alimentation des oiseaux sauvages toute l’année.
* Le bassin est équipé d’une réserve d’eau de 80 l.
* Une pompe de 4000 l/h (réglage estimé 2500 l/h) assure le brassage.
* La filtration est réalisée à travers une filtration mécanique sur mousse à cellule ouverte, puis l’eau est traitée sur une lampe UV avant d’être remontée dans la partie haute (jacuzzi).
* L’hiver une résistance chauffante maintient une température > 3°C
* Les espaces de baignade ont une hauteur variable entre 2 et 5 cm pour donner confiance aux oiseaux .
* L’endroit où l’eau est réinjectée dans le bassin, « le jacuzzi », est très apprécié pour la baignade.
C’est du beurre de cacahuète dans lequel sont incorporées différentes graines, c’est un mets apprécié des oiseaux.
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Parmi les indices que les mésanges utilisent pour décider de leur date de ponte, nous pouvons entre autres citer la température, la durée du jour, la pluviométrie.
La température influence directement la phénologie des arbres, c’est à dire leurs rythmes saisonniers, et ainsi la phénologie des chenilles – principale ressource alimentaire des oisillons.
Les mésanges doivent adapter leur date de ponte afin que l’éclosion des oisillons coïncide avec le pic d’abondance des insectes.
Les oisillons ne savent pas avaler de l’eau et le risque c’est que celle-ci se retrouve dans leurs poumons. Donc si vous devez élever des oiseaux tombés du nid, ne jamais donner de l’eau à la pipette, les jeunes oiseaux vont étancher leur soif grâce à la nourriture fournie uniquement.
Les interprétations sont nombreuses, mais en aucun cas, les mésanges n’essayent d’agrandir le trou.
Picorer le contour du trou d’entrée semble faire partie de la parade nuptiale des mésanges, mais cela sert aussi à montrer aux autres oiseaux que le nichoir est déjà repéré ou occupé.
Le mâle repère plusieurs endroits, puis il y invite la femelle et c’est elle qui choisit et valide l’endroit.
Lorsque l’oiseau pique le tour du trou, il fait du bruit, et cela lui permet aussi de partager sa fierté d’avoir trouvé un abri.
Le langage oiseaux n’a pas encore été complètement décrypté par les ornithologues.
Quand on étudie l’approche des oiseaux on peut voir qu’ils se posent directement au bord du trou d’envol, si l’on ajoute un perchoir cela oblige l’oiseau à se contorsionner pour entrer dans le nichoir. Un perchoir est donc totalement inutile ! C’est même dangereux, car il pourrait devenir l’endroit idéal pour les prédateurs qui cherchent à pénétrer dans le nichoir pour dévorer les petits !
La glande uropygienne ? Beaucoup d’oiseaux en possèdent une, mais certains n’en ont pas, (pigeons, …) . Cette glande se situe à la base du croupion et sécrète une substance composée de corps gras, de cires et de vitamine D, que l’oiseau répartit sur son plumage au cours de séances dédiées.
La substance est hydrophobe et rend le plumage imperméable. Elle peut emprisonner des substances ou bien s’altérer avec le temps. L’oiseau a donc régulièrement besoin de renouveler cette couche protectrice. Toutefois, elle ne peut être éliminée avec de l’eau. Voilà pourquoi l’oiseau recourt au bain de poussière : pour éliminer de façon mécanique, par frottements, l’ancienne couche protectrice.
Les plumes peuvent ensuite recevoir une nouvelle couche.
Non, les aliments gras sont encore plus importants en été qu’en hiver.
La masse d’insectes a considérablement diminué ces dernières années
La distance que les oiseaux doivent parcourir pour trouver des insectes augmente à mesure que l’abondance des insectes diminue.
L’approvisionnement de base des oiseaux ne peut être géré qu’avec une quantité d’énergie accrue.
Afin de couvrir ce besoin énergétique accru, les oiseaux parents se dirigent souvent vers les stations d’alimentation et y mangent principalement des aliments gras afin de pouvoir continuer à rassembler l’énergie de vol nécessaire à l’élevage énergivore des jeunes oiseaux.
Les aliments gras sont principalement utilisés pour l’approvisionnement énergétique, car ils fournissent plus d’énergie que les protéines
Même si d’autres aliments sont disponibles dans les stations d’alimentation, le besoin et la consommation d’aliments gras sont plusieurs fois plus élevés en été.
Problèmes digestifs chez les jeunes oiseaux ?
Un argument courant pour ne pas offrir d’aliments gras en été est que les jeunes oiseaux ne peuvent pas digérer les aliments gras.
Cette question ne se pose pas du tout et est également loin d’être pertinente.
Les oisillons nouvellement éclos (poussins) sont presque exclusivement nourris par leurs parents avec des aliments vivants riches en protéines, c’est-à-dire des insectes vivants.
Ce n’est que lorsqu’il ne reste presque plus d’insectes dans la zone, c’est-à-dire que le couvain est immédiatement menacé de famine, que les oiseaux parents apportent à leurs oisillons de la nourriture des stations d’alimentation pour assurer leur survie.
Le problème n’est alors pas que des aliments gras soient proposés, mais que les besoins en protéines des oisillons ne puissent plus être satisfaits.
Cela signifie qu’au printemps et en été, de la nourriture grasse doit bien sûr être offerte aux oiseaux parents.
Au cours des mois où il y a peu d’insectes, cependant, des insectes vivants devraient également être offerts au lieu d’alimentation si possible pour assurer la survie du couvain.
Les vers de farine vivants de l’animalerie sont un bon choix.
Recommandé par des ornithologues expérimentés
Peter Berthold, ornithologue de longue date et directeur de l’Institut Max Planck d’ornithologie à Radolfzell : « Tout au long des mois d’été, les boules de graisse et les cacahuètes restent populaires comme sources d’énergie bon marché pour les oiseaux parents, qui sont très occupés avec le couvain.
Les deux doivent être conservés en stock en quantités suffisantes […].
Les mélanges d’aliments gras sont souvent les aliments préférés pendant les mois d’été.
[…] Le principe directeur est le suivant : les aliments d’été et d’hiver sont en grande partie identiques, et beaucoup de matières grasses doivent également être proposées en été […]. »
Stockage approprié
Les aliments contenant des matières grasses, comme les boules de suif, deviennent rances à des températures élevées.
Les boulettes grasses laissées longtemps à la chaleur commencent alors à sentir mauvais et les oiseaux ne les mangent plus
Donc, si vous commencez tout juste à nourrir et que vous ne savez pas encore quelle sera votre consommation dans les prochaines semaines, vous devez acheter des aliments gras frais plus souvent selon vos besoins et éviter un long stockage dans des pièces chaudes.
Lorsque l’oiseau se prépare à dormir ou à rester inactif, il ébouriffe ses 1500 plumes (une moyenne !) qui vont ainsi se gonfler et le transformer en une grosse boule d’où n’émergent que les pattes (ou une seule alternativement) et le bec qui sont deux sources de déperdition de chaleur. Raison pour laquelle les oiseaux dorment la tête cachée dans les ailes à respirer l’air chaud et ramassés sur eux même pour protéger aussi les pattes.
Les oiseaux sont des animaux à sang chaud et endothermes, c’est-à-dire qu’ils produisent leur propre chaleur par leur métabolisme : or quand il fait froid, elle a tendance à se dissiper car leur surface corporelle est proportionnellement importante par rapport à leur taille. Or cela peut être mortel quand les ressources alimentaires disponibles sont rares, ce qui est souvent le cas en hiver.
Pour résister au froid, ils bénéficient de plusieurs adaptations morphologiques (plumage et graisse sous-cutanée) et physiologiques (circulation sanguine et structure cellulaire), mais ils peuvent aussi adopter un comportement adéquat (trouver un abri nocturne, se serrer les uns contre les autres, migrer, rentrer en torpeur ou même hiberner).
La salmonellose
Elle est causée par une bactérie du genre Salmonella. Elle est difficile à déceler car les symptômes peuvent varier en fonction de l’organe atteint : outre qu’ils ont le plumage gonflé et ébouriffé, les oiseaux peuvent sembler léthargiques et se laissent approcher facilement, ils peuvent avoir les paupières enflées, présenter des signes de dépression ou être amaigris.
Attention, ils peuvent être porteurs sains, capables de contaminer les autres oiseaux, il ne faut donc pas attendre de voir des oiseaux malades pour observer les mesures d’hygiène préconisées ci-dessous.
La propagation de la maladie se fait par la nourriture ou l’eau contaminée par les fientes d’individus infectés, ou de la nourriture contaminée par d’autres sources, ou par contact entre individus.
Cette maladie est une zoonose, c’est-à-dire qu’elle peut contaminer les animaux domestiques comme le chat, et aussi l’Homme.
La coccidiose, la lankestérellose
Très fréquentes dans les élevages, ces deux maladies parasitaires des intestins peuvent atteindre plus rarement les oiseaux sauvages. La première est véhiculée par les poux rouges, la seconde, appelée également « maladie du gros foie » car elle provoque l’hypertrophie du foie, est véhiculée par les poux ou les moustiques.
Des excroissances sur les pattes
Plusieurs maladies provoquent des excroissances variées, les plus courantes (papillomatose et gale des pattes) ressemblent à des masses de nourriture restées collées aux pattes. La poxvirose atteint aussi les pattes.
La poxvirose ou variole aviaire
C’est une infection causée par des virus de la famille des Poxviradae et du genre Avipoxvirus.
Elle touche de nombreuses espèces d’oiseaux sauvages, merle noir, corneille noire, pinson des arbres, verdier d’Europe, chardonneret élégant, accenteur mouchet, moineau domestique, étourneau sansonnet… La mésange charbonnière est touchée par une forme particulière de poxvirose qui se traduit par des nodules verruqueux impressionnants.
Il existe une forme « sèche » et une forme « humide ».
C’est la forme sèche qui est la plus visible et qui provoque des nodules cutanés ou pustules sur les zones faiblement emplumées : autour des yeux et du bec, sur les pattes, sur les ailes. L’incubation dure de quelques jours à plusieurs mois. Dans la nature, la plupart du temps les oiseaux faiblement atteints arrivent à récupérer. Mais ils sont rendus très vulnérables à la prédation du fait des effets des nodules sur la vision, et ils sont affaiblis par des difficultés à se nourrir. En outre, les nodules peuvent entraîner une infection bactérienne ou fongique secondaire.
La forme humide se transmet par inhalation du virus. Elle provoque l’apparition d’une membrane diphtérique au niveau de la bouche, du pharynx, du larynx et parfois de la trachée. Le risque de mortalité est plus élevé que pour la forme sèche.
On peut constater d’autres symptômes : affaiblissement, amaigrissement, conjonctivite.
La maladie est contagieuse par contact direct entre les oiseaux ou par un arthropode vecteur, par exemple le moustique.
La maladie n’est pas transmissible à l’Homme.
Et les tiques ?
Les tiques sont un vecteur de maladies. Elles transportent d’un animal à l’autre tout un cocktail de bactéries, virus et autres microorganismes, et, même dans le cas où elles ne transmettent pas de maladie, elles affaiblissent les passereaux par la quantité de sang prélevé.
Le trouble de la kératine aviaire
C’est une malformation du bec se traduisant par un bec anormalement long pouvant parfois atteindre des dimensions qui nuisent à l’espèce. Cette pathologie découverte récemment est due à la surproduction de kératine recouvrant l’os du bec des oiseaux atteints, principalement les mésanges et les corneilles, mais également au sein d’une trentaine d’espèces.
La gale des pattes
La gale est une ectoparasitose contagieuse due à un acarien supérieur hématophage (qui se nourrit de sang) et microscopique (moins de 0.5 mm) :
« le sarcopte de la gale » (cnemidocoptes).
Cette dermatose n’atteint que l’épiderme glabre (non emplumé) de l’oiseau.
Localisée donc exclusivement au niveau des pattes de l’oiseau, elle occasionne des lésions typiques sous forme d’excroissances cornées (soulèvement des écailles) qui déforment la patte. On constate la formation de croûtes blancs-jaunâtres parfois décrite comme ayant un aspect de « mie de pain séchée ».
Le male vit à la surface de la peau et la femelle creuse des galeries dans les couches superficielles cornées de l’épiderme pour y pondre leurs oeufs.
Les sucs salivaires sont très irritants (chez l’homme il provoquent de fortes démangeaisons symptomatiques).
Il est difficile d’évaluer l’inconfort ainsi provoqué chez l’oiseau, mais les sujets atteints ne semblent pas particulièrement se « gratter ».
On peut penser que la nature très cornée des pattes les rend moins sensibles, épargnant ainsi aux malades ce désagrément.
Par contre les déformations finissent par handicaper l’oiseau qui ne peut plus poser sa patte à terme celle-ci se fragilise tellement qu’elle peut s’infecter, perdre un phalange,se casser voir provoquer une surinfection (à staphylocoques ou streptocoques) mortelle pour l’oiseau sans traitement antibiotique.
Le cycle parasitaire dure 3 semaines. Les œufs éclosent en quelques jours et la maturité sexuelle est atteinte en moins de 2 semaines.
L’évolution de la maladie est très lente, elle se développe pendant plusieurs mois.
La face externe dorsale des doigts est la première à être touché puis le développement se poursuit sur la face plantaire interne de la patte.